Devenir un affranchi

Il devait être 9 heures quand Vito quitta son appartement, direction le Denroy's Downtown. Il avait appellé un taxi, et en quelques minutes à peine, il eu traversé les quartiers le séparrant de cette véritable Jungle Urbaine. Il ne seccait de lire et de relire son petit papier que lui avait donné le gars dans la boulangerie, le gars se nommant Elindo. Le gars qu'il avait ''sauvé''. En guise de remerciement, Elindo lui avait remit un papier avec une adresse, son adresse(L'adresse d'Elindo) certainement. Il savait quelle genre de boulot l'attendait, c'est pour cela qu'il avait prit son revolver avec lui. Son petit revolver de défense, le Colt Detective...

Elindo n'avait pas l'air d'être un marchand de fleur, mais bien un homme important de la famille Baroni. Vito savait déjà qu'il avait à son service des hommes, qui avaient des véhicules,... Il fallait donc être froid. Vito avait déjà, par le passé, été confronté à des entretiens où il fallait garder la tête froide dans tout situation,... Si on demandait à Vito de tuer quelqun, il devait ne pas rouspeter, et executer l'ordre pour avoir une chance de monter dans l'estime.

Il avait une veste de cuir rouge de mauvaise qualité, et un pantalon noir plutôt de mauvaise qualité. Ce n'était pas sur le style qu'il allait jouer ses atouts. Mais trève de pensé, le taxi se stoppa net devant un grand batiment. Le n'6 de la rue N'58... Des jeunes gens étaient assis sur des murets, la plus part portaient des vêtements classe et fumait un cigar de qualité, fusillant Vito du regard. Vito, lui, serrait son petit papier et décida de parler d'une voix assez forte, pour que tout les gars qui étaient à proximité entendent ses dires.

''Bonjour à tous,...
Je viens de la part de Mr. Elindo, on m'a dit qu'on aurait peut-être du boulot pour moi.. Hum... ???''

Un jeune homme assez bien vêtu, cigare au bec, te répond en prenant un ton supérieur et arrogant.

"Elindo n'est pas là, mais entre, il t'a dit d'aller voir Paulie le Boucher, je pense que c'est avec lui que tu vas bosser. Tu t'appelles Vito Luciano c'est ça?"

Vito regardait son interlocuteur d'un air neutre. Il n'était pas question de tenter d'intimider, trop dangereux, question de survie! Il trouva juste un peu humiliant la façon dont le gars au cigar venait d'écorcher son nom. Mais il ne broncha pas. Il resta froid,... On lui apprit également, qu'il allait devoir travailler avec Paulie ''Le Boucher'', un nom qui n'inspirait pas vraiment confience.... C'était vraiment rassurant pour Vito de savoir qu'il allait bosser avec un gars qu'on appellait ''Le Boucher''. Mais bon, c'était peut-être un gars important, puis, il avait besoin d'argent, alors, le nom de son employeur n'allait pas l'empecher de gagner du fric !

Il prit, après un petit moment de réflexion la parole.

''Luchetto,... Pour être exacte. Vous seriez bien aimable si vous me donniez l'adresse de Mr. Paulie,... Vito s'arrêta de parler un petit temps, avant de finir sa phrase. ''Le boucher''...''

Vito croisa les bras. Et affichait un sourrire énigmatique, mais qui ne parraisait pas trop arogant. L'instant qu'il était entrain de vivre était peut être décisif, c'est peut-être grace à cet entretien qu'il allait vraiment lancer sa carrière de gangster au sein de la famille Baroni.

Vito était fixé par tout les ''amis'' ou ''associés'' de son interlocuteur. C'était un peut humiliant, certain riait entre eux mistèrieusement. De Vito apparement, qui se contentait de rester froid.

"Ouais, bon peu importe. Et t'as pas à savoir où il habite, tu entres et c'est tout, il doit t'attendre."

Tu t'exécutes sans broncher, à l'entrée du bâtiment, déjà, plusieurs porte flingues montent la garde un peu partout. Paulie se tourne vers toi avec un regard froid.

"Alors c'est toi, le petit protégé de Elindo. Enchanté bonhomme. Ecoute c'est pas parce que tu bosses pour moi que tu dois te prendre pour un caïd, vu? Si tu bosses avec moi c'est uniquement parce que je ne veux pas froisser le vieux Elindo, j'ai déjà pris sous mon aile un nouveau mec, et je vais me retrouver avec toi dans les pattes, donc si tu m'emmerdes, tu te fais éjecter, c'est aussi simple que ça."

Il allume une cigarette et te dévisage avec le même regard...

Vito regardait Paulie avec un air mystèrieux. Il ne sourriait pas, car il aurait pu parraître arrogant,... Pendant un petit moment, il y eu comme un blanc,... Plus aucun son pendant environ 5 secondes. Vito brissa ce silence quand il vut que le visage de Paulie commençait à se ''fonçer''... Comme si il était impatient...

''Ok,... C'est vous le boss, Paulie,...''

Les portes flingues eurent un petit rictus entre eux. Comme si cette phrase les avaient amusé. Pourtant, ils étaient certainement passés par là eux aussi. Vito leur aurait bien colé une baffe, histoire de les calmer. Mais il restait tranquille, il ne fallait pas faire le ''fou''. Surtout pas maintenant. Mais trève de pensées, Vito se demandait quel genre de boulot ''Le Boucher'' allait lui donner. Il ésperait ne pas devoir aller extorquer un commerce, car il allait devoir verser un tribut à Paulie dans ce cas. Et ca chaque semaine, mais Paulie n'aurait pas à bouger le petit doight. Ho que non! Vito allait devoir protéger le magasin, aider dans les frais de réparation en cas d'attaque,... Et si le marchand n'avait pas de coit payer Vito.Lui (Vito),il devrait arroser Paulie quand même.

Donc il préférait avoir à faire un travail dans le genre du vol,... Une attaque de convoi aurait été parfait. Mais Vito savait qu'il n'allait pas avoir le choix.

''Quesque je peux faire pour vous, patron ?''

"Commence pas avec tes "patron", je suis Paulie et point, c'est comme ça que ça marche, c'est pas en me faisant des compliments que je t'apprécierai. Bon, pour le moment, t'allumes une clope, et tu te la mets en veilleuse. Je vais voir ce que je peux faire pour toi."

Il sort chez ses potes en laissant la porte entrouverte, tu peux entendre les répliques qu'ils s'échangent, mais apparemment, il s'agirait de choses que tu n'es pas le mieux placé pour savoir, loin de là!

"Bon, les gars, vous me donnez un tuyau pour le bambin?
Roh je sais pas, dis lui d'aller voir le mec qui emmerde les affaires de Franky...
Quoi, où ça? Ben nos putes du Barkmill...
Ok, je reviens."

Tu connais la suite, Paulie s'amène et te dit d'aller rendre visite à un mec qui a abusé d'une pute de la Famille Baroni, et t'interdit de le liquider

Vito savait se qu'il lui restait à faire. Il fallait persuader ce type de ne plus être ''violent'' avec les femmes de joie d'un certain ''Franky''. Il ne posa pas de questions, il se contenta de se rendre à la cabine téléphonique de la rue, pour commander un taxi. Quand ce dernier arriva, Vito embarqua, bien décidé à impressionner Paulie, d’une pare grâce à sa force de persuasion,… Barkmill, c’était le quartier principal des Baroni. Vito ignorait que les Baroni trempaient dans la prostitution, mais un business est un business, comme ‘’ils’’ disent dans le jargon de la pègre,… Arrivé sur place, Vito se rendit compte, qu’il arrivait en touriste, comment retrouver un type battant des prostitués ? Il n’avait même pas son nom,… Il devait donc jouer le coups finement, il marcha quelques minutes avant de repérer une prostitué, il s’approcha d’elle et engagea la discution.

*Bonjour, j’aimerais avoir une petit information, dans le quartier, il y a une de vos ‘’collègue’’ qui s’est faite frapper et abuser, il paraît. Vous savez où elle se trouve ?
-Je suis pas flic, allez voir ailleurs !’’ Dit elle en tentant de s’en aller.
Hé ! Je travaille pour Paulie le Boucher. Calmez-vous, je suis là pour,... Hum, corriger l’agresseur. Dit Vito en attrapant le bras de la femme.
-Dans ce cas,… Je sais pas où est Gina, mais l’homme violent, lui, il passe ces journées au bar ‘’bordel’’ du coin. Le bordel se trouve à l’étage d’un barbier. C’est juste au coin de la rue. Le type s’appel Danny, pour entrer au bordel, faut payer,… Cher !
Ce n’est pas un problème…
-Il est très violent Danny, méfiez-vous !*

Vito remercia la femme et marcha dans la direction qu’elle avait indiquée, regardant aux alentours, tentant de trouver le barbier cachant un secret,… Vito marcha 3 minutes avant de trouver le premier barbier. Il y entra doucement, aux premiers abords, on n’aurait jamais crût qu’un bordel se trouvait à l’étage, le barbier était vieux, n’avait pas l’air d’être un mac,… Etrange, mais Vito, au fond de lui savait que la prostitué à qui il venait de parler ne mentait pas. Il tenta donc ça chance au dialogue.

*Heu, on m’a parlé d’un petit nid d’amour ici,… Et j’ai justement besoin d’attention…
-Ho, combien avez-vous sur vous ?
Environ 150$...
-Bon, d’habitude c’est plus cher. Mais, monté, la porte est là,..*

Vito paya le barbier sans broncher et franchit la porte qui allait le mener au fameux bordel. Il dut monter un escalier, une fois cela fait, il se trouva dans une espèce de grand salon bizard. Des filles dansaient, et des gars étaient affalés dans des fauteuils, ils se rinssaient l’œil. D’une sale manière! Vito restait dans son coin, silencieux, jusqu’au moment où une des filles du bordel vint l’aborder.

*-Alors, tu t’ennuies mon beau ?
Ho non, vous savez, je ne suis pas là pour m’amuser… Une de mes amies, Gina, c’est faite abuser par un type, on m’a dit qu’il serait pésent, il s’appel Danny. Vous le connaissez ?
-Oui, c’est le type au chapeau melon vert et à l’imper noir.
Merci,…*

Vito, grâce à un mensonge astucieux connaissait maintenant l’identité de l’agresseur. Il y avait deux autres types avec lui. Vito s’approcha de l’agresseur, il l’attrapa par les cheveux et lui mit une bonne droite dans le nez avant de sortir son flingue afin de le pointer au visage des deux types avec Danny. Il y avait un calme plat dans le bordel, personne ne bougeait, Danny se remettait doucement du coups de poing, c’est potes étaient, eux, en panique,… Ils tremblaient comme des feuilles. Mais Vito savait que dès qu’il aurait le dos tourné, les types n’hésiteraient pas. Il attrapa donc le col de Danny et mit le canon du Colt sur sa cuisse. Danny saignait, c’était moche, mais sa allait encore empirer, car Vito lui tira une balle à bout portant dans la cuisse. Il horrible cri s’en suivit. Vito infligea ensuite une coups de crosse en plein dans le menton à Danny avant de prendre la parole.

*Ecoutez, la prochaine fois que vous faites les fous avec une des filles sous protection Baroni, vous morflerez tellement que l'envie de recommencer s'enfuira aussitôt !
-Compris,... Dit appeuré l'un des amis de Danny,...
J't'empreinte ton porte-feuille, j'ai perdu 150$ et une balle ici,... J'éspere que ca me rembourserra ! La prochaine fois, je te bute toi, la terreur, t'as été déjà bien puni, j'éspere que cela suffira,.. Pauvre cafard!*

Vito lacha les cheveux de Danny. Qui était devenu comme muet sous l’effet de la douleur, tous les regards se portaient sur Vito, qui ne dévoila même pas son nom. Il prit juste le porte-feuille de Danny avant de disparaître du bordel. Il prit un taxi, direction le Gellower’s distric, pour aller annoncer à Paulie que son pote Franky ne risquait plus d’avoir de problème.

Lorsque tu reviens, Paulie fronce les sourcils, l'air curieux, intrigué.

"P*t*in Vito, t'es rapide, je te disais pas de le faire tout de suite, t'as vraiment rien à foutre de tes journées? Bon, ça va, tant mieux, ça nous fait une bonne chose de moins."

Il te dévisage un moment, avec un regard neutre et impassible, puis prend à nouveau la parole:

"Ben quoi?"

Ca voulait tout simplement dire qu'il te congédiait... Pas de fric, nada, mais sûrement une bonne impression, c'était meilleur!

Gains: 7 points de réputation
Et... exactement 158 billets dans la poche de Danny!