Mise au point [PV Vito et Lorenzo]

Voilà. Le plan marchait à merveille. J’avais eu une occasion de me faire un peu d’argent, et je ne l’avais pas ratée. J’avais eu une occasion de me faire connaître des collègues de Paulie, je ne l’avais pas ratée non plus. Maintenant, cela faisait plus d’un mois que je n’avais pas vu Vito et Lorenzo. Ca devenait intenable pour moi. Ca faisait beaucoup trop longtemps que je ne les avais pas vus ! Pourtant, je les avais prévenus, je ne pouvais pas les tenir au courant de mes faits et gestes quotidiens pendant un bon moment. J’espérais seulement qu’ils passaient inaperçus comme je leur avais demandé de faire. C’est dans un café méconnu que nous nous donnâmes rendez vous, à 8h du matin. J’arrivai un quart d’heure en avance. Il n’y avait que quelques clients qui lisaient un journal et savouraient le café matinal en compagnie de la première cigarette du jour. J’étais euphorique, le grand jour était arrivé ! J’allais enfin pouvoir présenter Vito ou Lorenzo à Paulie. Je pris place dans le coin du café, près de d’une vitre, afin que je puisse guetter toutes les allées et venues. J’étais songeur. Je pensais à la manière avec laquelle j’allais m’y prendre. Tout compte fait, ça n’allait pas être très facile… J’avais plusieurs fois fait allusion à un « ami que je connaissais, et qui avait besoin de boulot », mais Paulie n’avait fait que m’ignorer. Après tout, c’était meilleur ainsi, je n’aurais pas à présenter un ami imaginaire dont je n’avais jamais parlé. Lorenzo m’inquiétait un peu, il anticipait moins vite que Vito et moi, il é tait un peu simple d’esprit, mais obéissait aux ordres. J’espérais qu’il n’allait pas foutre tout mon travail en l’air, mais j’avais confiance. Ce qui m’inquiétait aussi, et encore beaucoup plus, c’était la réaction des affranchis. Je commençai à être connu du groupe, et pour le moment, je n’avais eu de malentendu avec personne, tout le monde m’appréciait plus ou moins et Paulie commençait à avoir confiance en moi… Introduire deux nouveaux mecs dans un groupe soudé et qui a déjà un nouveau, ça ne passe pas forcément inaperçu. J’étais songeur…

Quelques semaines plus tôt…

Irish Coffee, 20h00. Paulie allait enfin me présenter à ses collègues et amis. Tous les affranchis étaient assis dans une table qui leur était réservée pour la nuit entière, à l’écart de tous les autres groupes.

« Les gars, je vous présente Sonny, un ami à moi.
Eh mais c’est pas celui dont on a parlé l’autre fois, le spécialiste des cigares, c'est ça ?
Si, c’est bien lui. »

Je les connaissais tous, mais une seule personne me connaissait à part Paulie, c’était le mec qu’il avait « grondé » la dernière fois, derrière mon dos. Bref, je ne dis pas mot au début, attendant la réaction des autres. Elle fut spontanée et positive, comme chez tous les italiens.

« Salut Sonny, bienvenue. »

Je serrai la main à tout le monde, avec un sourire chaleureux. Nous jouâmes aux cartes toute la soirée, je bus peu, mais ne gagnai que ce que je perdis. Il y avait un certain Giovanni, qu’on appelait « Gio le Cinglé » qui était aussi drôle que cruel. Petit et trapu, on racontait qu’il torturait mieux que personne, et que, malgré sa petite taille, il était très craint. Moi il m’avait bien plu celui là, il m’avait paru tout ce qu’il y a de plus courtois et de plus chaleureux, du moins quand il ne s’agissait pas d’un serveur, d’un barman ou autres qui l’emmerdaient…
En tout cas, je n’eus pas de mal à m’intégrer. J’acquis très rapidement la réputation d’un gars silencieux, qu’il ne fallait pas emmerder, et qui, surtout, passait son temps à méditer. Tant qu’il n’y avait pas d’arrière pensée, ça me convenait bien…

Retour à la situation initiale.

On disait que Vito était plus agréable en relations sociales que moi, il avait un très bon sens de l’humour (quoiqu’assez familier), et avait du succès avec les femmes, en tout cas beaucoup plus que moi et Lorenzo. Alors, si moi j’avais su m’intégrer, pour Vito, ce serait du jeu d’enfant ! Il arriva enfin, et je me levai pour l’accueillir. Lorenzo n’était pas encore là, j’avais dit à Vito de venir plus tôt. Des deux amis que j’avais, Vito était mon petit préféré, une sorte de protégé pour moi, quoique j’aimais beaucoup Lorenzo… Tout le monde a le droit d’avoir un préféré tout de même^^
J’avais donc posé ma tasse de café et m’étais levé pour saluer mon ami, sourire aux lèvres et aux yeux, je l’enlaçai puis lui tapotai les joues avec un sourire fier. Nous prîmes place, puis commençâmes la conversation, qui s’annonçait plutôt longue…

« Alors, qu’est ce que tu racontes de nouveau, fratelli ? T’as pas fait trop de bêtises ? »

[On va dire que tu n'avais pas dis à Vito que tu allais le présenter à un employeur^^]

Vito avait un rendez-vous important aujourd'hui. Il devait revoir son ami d'enfance qu'il n'avait plus vu depuis un bon gros mois. Il était heureux comme un gamin. Sonny avait demandé de se tenir calme un petit temps. Vito avait réussit à ne pas avoir trop d'ennuis, jusqu'à la rencontre Du vieu Elindo à la boulangerie... Après de chaleureuses retrouvailles, Vito et Sonny prirent place à une table près d'une vitre. Surment pour guetter les allées et venues,... Vito était un peu étonné de ne pas voir Lorenzo, mais bon, il était avec Sonny. Alors autant ne pas perdre de temps. Lorenzo allait certainement bientôt arrivé.

''Disons que j'ai su me tenir tranquille pendant 3 semaines,...''

A ce moment là, Sonny semblait intrigué. Mais il serait surment ravi d'apprendre que Vito avait trouvé un employeur. Paulie ''Le Boucher''. Un type qui avait l'air important chez les Baronis... Alors qu'il s'appretait à expliquer à Sonny sa rencontre avec Paulie, un serveur vint lui apporter un tasse de café. Il en bu donc une goergé avant de reprendre la parole.

''Tu vas pas me croire! J'allais à la boulangerie, et là, alors que je suis à une bonne cinquantaine de mètres, deux types entrent dans la boulangerie et agressent un vieil homme. Prit de bon scence, je cours jusqu'à la boulangerie. Je corrige les types, et là, le vieil homme me donne un papier avec une adresse, il me dit que je pourrais y trouver du travail...''

Il reprit plusieurs georgés de café avant de continuer son récit. Il savait qu'il n'aurait pas du aller voir pour ce boulot, car il avait juré de se tenir tranquille, mais une occasion de job dans un moment de pauvretée, ca ne se refuse pas ! Sonny allait certainement le comprendre, il ne pouvait pas refuser ce job.

''Je vais à l'adresse donné par le vieu type, et là, on me présente à Paulie ''le boucher''. J'ai du aller corriger un mec. Rien de très grave,... Je pouvais pas refuser l'offre de job de Mr. Elindo,... J'avais pas de fric Sonny, fallait que je sorte de l'ombre!''

Une semaine que j'ai apréciser, pour une fois dans cette nouvelle vie j'avais eu de l'action malgré qu'un homme allait me donné un peu de travaille mais avant ça mon cher ami Santino avait lancé une invitation à moi et Vito. Deux amis vraiment cher pour moi, je sortis mon beau costard de mon cabanon et l'enfila doucement, aucune arme sur moi pourquoi amené une arme quand ont est entre amis. Je ferma l'appartement à clef, je partis avec un sourire dans la face je saluas tout le monde sur ma route que je connaissais bien sûr sinon j'aurais passé pour un con. Le petit Cafe une place que je ne connaissais pas encore je demandas à une jeune dame où se situa le café du coin la dame m'indiqua clairement le chemin, j'entras et je vu mes deux mais Vito & Santino mais avant j'allas prendre un café et m'installa en face d'eux un autre homme que je ne connais décidement pas je le salua avec un petit sourire sans rien d'autre ajouté, je pris une gorgée de mon café sans rien dire pour un long moment parcontre je salua Vito et Santino j'attendis que quelqu'un parle car perso je n'avais à dire de bon sauf le départ de ma nouvelle vie je croyais bien qu'eux aussi avait eu quelques jobs car ils avaient changés

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