J’en dis pu*a*n de quoi ? J’en dit qu’on va bien se fendre la pu*a*n de gueule cyclope, et que je regrette pas d’être aller boire un pu*a*n de Jim Beam dans ce pu*a*n de bistrot. Avec ce plan on va y gagner à trois putains de reprises, la première parce qu’on va faire ce que nous demande se connard qui sait pas tenir ses comptes, on va d’abord s’occuper du connard qu’a voulu justement en profiter, et nous on va en profiter à notre tour pour se mettre quelques trucs dans la pu*a*n de poche sur le dos du pu*a*n de Vincenzo, décidemment lui il se fait baiser dans tout les putains de sens. La deuxième parce qu’on va aussi s’occuper de ce pu*a*n de Vincenzo qu‘est trop con pour roder dans quelle m*rd* il vient de se foutre, et qu’on va aussi en profiter pour se mettre quelques trucs dans la pu*a*n de poche une fois qu‘on l‘aura étalé contre un mur. La troisième parce que les putains de Baronie vont en entendre parler de cette pu*a*n d’histoire, et de toutes façons se Vincenzo à pas trop l'air d'avoir une gueule qui manquera à la pu*a*n de famille, mais nous sa va nous offrir une belle pu*a*n de démonstration. Bon, comme d’habitude mon visage reste pu*a*n de passible, je regarde ce pu*a*n de cyclope du coin du regard pendant que je me roule une clope et je lui dis :
- Mouai, t’as trouvé ça tout seul, comme un grand ?
J’attrape la clope entre mes putains de lèvres et je sors mon pu*a*n de Zippo. Je repense à y’a cinq putains minutes quand cyclope blablatait avec le pu*a*n de taximan, j’ai pas dis un seul pu*a*n de mot, son petit jeux était tellement pu*a*n de pitoyable que ça me donnait plus envie de pleurer que de rire. Je m’allume ma clope, je regarde cyclope et je lui dis :
- Il aurait mieux fait de rester un simple taximan lui. Bon, pas de temps à perdre, on se bouge !